Dans de nombreuses entreprises et collectivités, la gestion d’un parc de véhicules mutualisés repose encore sur des outils simples… parfois trop simples. Tableurs Excel, rappels manuels, post-it sur un bureau : ces méthodes fonctionnent tant que la flotte reste réduite. Mais dès que le nombre de véhicules augmente, les oublis et les approximations deviennent un risque majeur.
Or, l’entretien régulier d’un véhicule professionnel n’est pas une option. C’est une obligation réglementaire, un enjeu de sécurité et un levier d’optimisation budgétaire.
GéoContact accompagne les gestionnaires de flottes et les responsables d’ateliers avec une solution pragmatique : Contact v10.
Plus qu’un simple outil de planification, c’est une plateforme conçue pour simplifier la gestion quotidienne des véhicules mutualisés, automatiser le suivi et garantir la conformité sans alourdir la charge administrative.
La maintenance d’un parc mutualisé : un enjeu stratégique
Un véhicule partagé est un outil de travail collectif. Quand il est immobilisé, c’est toute une organisation qui se désorganise : tournées annulées, missions retardées, agents bloqués.
Pourtant, beaucoup de flottes restent gérées de manière artisanale :
- Carnet d’entretien papier difficile à retrouver,
- Échéances de contrôle technique notées à la main,
- Vidanges ou pneumatiques changés selon la disponibilité,
- Défauts signalés sans suivi centralisé.
Résultat : des incidents évitables, une hausse des coûts de réparation et une baisse de disponibilité.
Selon le CNPA (2023), une mauvaise planification de la maintenance augmente de 30 % le coût total d’entretien d’un véhicule, principalement en raison des réparations curatives plus fréquentes.
Pour le gestionnaire de parc, ces dérives se traduisent par des urgences à répétition et une perte de temps sur le suivi administratif.
Pour la direction financière, elles pèsent directement sur le TCO (Total Cost of Ownership) et les coûts d’exploitation.
Entre théorie et réalité : un écart encore important
En théorie, la maintenance devrait suivre les préconisations constructeurs :
- Entretien planifié selon le kilométrage ou la date,
- Vérification régulière des équipements de sécurité,
- Anticipation des contrôles techniques.
Mais dans la réalité, ces bonnes pratiques sont souvent difficiles à maintenir dans un environnement mutualisé.
D’après le Cerema, 57 % des TPE/PME ont déjà laissé passer une échéance d’entretien pour au moins un véhicule.
Et selon l’Arval Mobility Observatory (2024), 63 % d’entre elles utilisent uniquement des fichiers Excel ou des rappels individuels.
L’absence d’un outil centralisé conduit à une gestion réactive plutôt que préventive — avec les conséquences que l’on connaît : pannes, immobilisations, et perte de confiance des utilisateurs.
Contact v10 : un suivi automatisé et maîtrisé de la maintenance
La plateforme Contact v10 n’est pas un logiciel de gestion de flotte au sens administratif.
C’est un outil opérationnel, conçu pour les parcs mutualisés, qui automatise les rappels et garantit la disponibilité des véhicules sans nécessiter de gestion lourde.
Chaque véhicule peut être configuré avec des seuils de maintenance :
- Date fixe, pour anticiper un contrôle technique ou une révision annuelle,
- Kilométrage, pour déclencher automatiquement une alerte à 10 000, 20 000 km ou tout autre seuil critique.
Dès qu’un seuil est atteint :
- Le véhicule est automatiquement bloqué à la réservation,
- Un message indique sa mise en maintenance,
- Le responsable reçoit une notification pour planifier l’intervention.
Objectif : éviter toute utilisation d’un véhicule non conforme ou potentiellement dangereux.
Pour le gestionnaire, cela signifie la fin des rappels manuels et des oublis.
Pour le responsable d’atelier, une planification fluide et des interventions anticipées.
Pour les utilisateurs, la garantie de ne jamais réserver un véhicule indisponible.
Un outil simple pour des flottes de 10 à 100 véhicules
Les structures de taille moyenne n’ont pas toujours de service dédié à la gestion de flotte.
Chaque tâche administrative supplémentaire devient alors une contrainte.
Contact v10 automatise les rappels, centralise les informations et réduit la charge de suivi.
Les responsables d’atelier ou de patrimoine peuvent ainsi se concentrer sur les priorités du terrain.
Les bénéfices concrets :
- Traçabilité complète des opérations effectuées.
- Gain de temps sur les suivis manuels,
- Respect garanti des obligations réglementaires,
Pour la direction financière, c’est un levier de réduction des coûts : les opérations préventives coûtent deux à trois fois moins cher que les réparations sur panne (Observatoire CNPA, 2023).
Pour la DSI, c’est une solution SaaS légère, sécurisée, sans maintenance technique interne.
Une vision d’ensemble claire et actionnable
Contact v10 offre une vue consolidée du parc :
- Quels véhicules sont immobilisés et pour quelle raison ?
- Depuis quand ?
- Quelles interventions sont à planifier ?
Les alertes peuvent être paramétrées selon les types de véhicules (utilitaires, véhicules de service, électriques…) et envoyées à plusieurs interlocuteurs — par exemple, à l’atelier et au gestionnaire de site.
Cette visibilité renforce la réactivité et la qualité de service :
moins de pannes imprévues, une disponibilité accrue, et un parc conforme en permanence.
Des économies concrètes sur la durée
L’entretien préventif n’est pas seulement une question de sécurité, c’est aussi une optimisation financière.
Selon le CNPA, un entretien préventif coûte jusqu’à 3 fois moins cher qu’une réparation sur panne.
En anticipant les échéances via Contact v10, les structures réduisent :
- Les immobilisations imprévues liées à un oubli de révision ou de contrôle technique.
- Les réparations d’urgence,
- Les surcoûts à la restitution des véhicules loués,
Pour la direction financière, cela se traduit par un TCO mieux maîtrisé.
Pour les conducteurs, par des véhicules fiables et disponibles.
Des données d’usage au service de la maintenance
Les fonctionnalités de maintenance de Contact v10 s’intègrent dans un ensemble plus large de suivi opérationnel :
- Historique et suivi des trajets,
- Statistiques d’utilisation,
- Corrélation entre kilométrage, durée d’usage et fréquence d’entretien.
Ces données permettent d’adapter les cycles de maintenance à la réalité du terrain plutôt qu’à des modèles théoriques.
Conclusion : simplifier pour mieux sécuriser
La maintenance d’un parc mutualisé n’est pas qu’un sujet technique.
C’est un enjeu de sécurité, de performance et de fiabilité collective.
Avec Contact v10, les entreprises et collectivités disposent d’un outil simple, sécurisé et automatisé pour :
- Garantir la conformité réglementaire,
- Anticiper les interventions,
- Réduire les coûts et le temps de gestion,
- Améliorer la satisfaction des utilisateurs.
En résumé : moins de complexité, plus de maîtrise, et une flotte toujours disponible.
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